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                      | brennecContributeur actif
 
 
                France268 message(s)
 Statut:
   |  |  Posté - 22 juin 2025 :  19:08:59     |  
                | 
                    
                      | Bonjour 
 Je vous sollicite pour un problème qui pourrit la copropriété : j'ai plein de questions.
 
 Le point de départ, que je vais simplifier :
 
 un espace appelé toiture végétalisée inaccessible  dans les plans d'architecte (en raison de la présence de canalisations VMC) a été aménagé par le promoteur après la construction, et même quelques mois après la livraison de la copropriété, pour qu'il devienne un "jardin" à accès exclusif pour un lot  voisin qui tenait à avoir un jardin :
 - mise en place d'une séparation vitrée entre un palier partie commune  et la toiture végétalisée,
 - destruction partielle d'un muret entre le lot et la toiture,
 -  installation d'un second garde corps,
 - apport de terre,
 - caissons en bois pour protéger les canalisations VMC horizontales.
 Le tout sans publier les modifications et sans prévenir les syndics.
 
 Le syndicat a découvert tardivement la situation suite à un sinistre, dû plus que vraisemblablement à la mauvaise utilisation de ce "jardin". La copropriété a réparé et maintenant il s'agit de "régulariser"  juridiquement  sous forme d'un droit de jouissance.
 
 Questions :
 
 - Le droit de jouissance exclusif est-il octroyé gracieusement ou vendu  ?
 
 - Ce droit de jouissance peut-il être entraîner une augmentation des tantièmes généraux?
 
 - Pourrait-on prévoir qu'en cas de sinistre sur l'étanchéité le titulaire du droit de jouissance paierait un surcoût  -par exemple 30% du prix des travaux  ?
 
 - Les caissons en bois cachant les canalisations VMC  sont-ils privatifs ou communs ? ils sont en très mauvais état,  qui doit les entretenir ?
 
 - Les relevés (d'étanchéité) que la copropriété a dû faire changer font-ils partie de l'étanchéité structurelle qui demeure à la charge du syndicat ou bien  peuvent -ils être considérés comme des "revêtements" apparents à la charge de l'occupant ?
 
 - Dans l'incertitude concernant le support, pouvons nous interdire  non seulement les plantations d'arbres, en particulier près des relevés d'étanchéité,  mais les jardinières susceptibles d'accroître le poids ?
 
 - Si le demandeur n'obtient pas la majorité requise et renonce à son projet, les frais de restitution seront-ils tous à la charge de la copro ?  (suppression de la paroi vitrée par exemple)
 
 -  est-il obligatoire de s'adresser à un géomètre   pour mesurer la surface de la partie en question ?
 si oui, faut-il  inclure la place occupée par les canalisations VMC?
 
 - pour ne pas engager de frais inutilement, avant de consulter un géomètre, le demandeur veut d'abord s'assurer en AG que la majorité approuve son projet: pour cela il met à l'ordre du jour une résolution où il donne certaines conditions qu'il  accepte: Majorité requise ? valeur juridique de ce vote ? est-ce que ça remplacerait un projet de géomètre ? est-ce que ça engage la copropriété ?
 
 
 Peut-être qu'échaudés par les 8000 euros dépensés, nous nous inquiétons à tort en voulant border ce projet de façon à protéger la copropriété tout en satisfaisant le désir du demandeur.
 Merci d'avance pour des réponses et commentaires éventuels.
 
 
 
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                      | Édité par - brennec le 22 juin 2025  19:11:06
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